Confortablement installé sur la terrasse de sa maison, Djeha-Hodja Nasreddin se prélassait
, en goûtant la douceur d'un après-midi printanier, quand quelqu'un l'appela de la rue :

- Djeha-Hodja Nasreddin ! Djeha-Hodja Nasreddin ! Descends voir ! J'ai une question à te poser !

Il appela plusieurs fois et Djeha-Hodja Nasreddin finit par descendre, quoique à contrecoeur. Il trouva un homme qui tendait la main.

- Djeha-Hodja Nasreddin, donne-moi une pièce, s'il te plaît. Dieu te la rendra au centuple.

- C'était donc cela ta question ! C'est pour ça que tu as troublé ma tranquillité ! Viens avec moi
!

Le mendiant grimpe péniblement avec Djeha-Hodja Nasreddin jusqu'à la terrasse.

- Maintenant, lui dit Djeha-Hodja Nasreddin, voici ma réponse : c'est non.

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Cómodamente instalado en la terraza de su casa, Djeha-Hodja Nasreddin estaba repantigándose, saboreando la dulzura de una tarde de primavera, cuando alguien le llamó desde la calle :
 
-          ¡Djeha-Hodja Nasreddin! ¡Djeha-Hodja Nasreddin! ¡Bájate, por favor! ¡Tengo que hacerte una pregunta!
 
El hombre llamó varias veces y Djeha-Djoha Nasreddin acabó por bajar, a regañadientes. Se encontró con un hombre que tendía la mano.
 
-          Djeha-Hodja Nasreddin, dame una moneda por favor. Dios te la devolverá al cien por cien.
 
-          Eso era tu pregunta! ¡Y por eso has perturbado mi tranquilidad! ¡Vente conmigo!
 
El hombre se subió penosamente con Nasreddin hasta la terraza.
 
-          Ahora, le dijo Djeha-Hodja Nasreddin, te digo mi respuesta : es NO.